LE JOUR DU JUGEMENT DERNIER
Mes chers frères,
César reçoit souvent des propositions d’article dans le même esprit que la lettre suivante, qui nous vient d’un Frère de Septimanie.
Cette lettre s’adresse à Mr Stifani, comme s’il était un maçon, cherchant à lui rappeler de lointaines valeurs maçonniques, qu’il aurait oubliées. Or au bar de la marine, nous avons acquis la conviction que ce Mr Stifani est toujours resté profane dans sa tête, qu’il n’a cherché à rentrer à la GLNF, après son bref passage au Droit Humain, que pour les intérêts relationnels, de pouvoir et financiers, que cela pouvait lui rapporter.
Mais il n’en reste pas moins que cette lettre est belle, en ce qu’elle traduit bien l’émotion ressentie par beaucoup de Frères profondément choqués de voir les vraies valeurs maçonniques être ainsi foulées au pied.
C’est dans cet esprit que César publie cette lettre.
LE JOUR DU JUGEMENT DERNIER
Monsieur le futur ex-TRGM de la GLNF
Le moment de votre jugement maçonnique est proche.
Par votre attitude et vos dérives, vous avez déshonoré l’obédience et la fonction qui vous furent confiées, et d’une manière générale la Franc-maçonnerie.
Vous n’avez pas su, ni voulu entendre les FF que vous aviez osé traiter de mutins indignes au point de considérer leurs demandes légitimes comme de vulgaires « excrém…. » un certain 4 décembre 2009.
Je vous le dis, le moment de votre jugement maçonnique se profile, et puisque vous semblez vous réclamer d’un droit divin, prenez garde que l’on ne vous fasse subir l’épreuve de l’Ordalie. Je doute que vous y surviviez !
Je vous le répète, le jour de votre jugement maçonnique est annoncé, et vous devrez répondre de votre odieuse attitude. Nous vous demanderons des comptes « sacrés » et profanes. D’ailleurs, la Justice vous a déjà débouté et condamné par deux fois. Prenez garde, car comme le dit l’adage, « Jamais 2 sans 3 »
En mars 2010, vous auriez pu vous retirer de nos « affaires », vous ne l’avez pas fait. Vous auriez pu, alors, éviter le déshonneur et l’humiliation de votre toute prochaine éviction.
Aujourd’hui, écoutez, regardez autour de vous : l’indignation contre vous, monte de PARTOUT !
Malgré cela, vous dédaignez les mises en garde, encore fraternelles, des différents rites, des Grandes Loges francophones voisines.
Votre « popularité », si tant est qu’elle ait existé, s’effondre, l’exemple nous en est donné par l’assistance ridicule (70 à 80 personnes) venues lors des journées des 3 et 4 décembre 2010.
Vos récentes installations de nouveaux GMP aux ordres, dans l’Est, dans l’Ouest, dans le Sud-ouest se sont traduites par un absentéisme record. Elles constituent autant de désaveux cinglants de votre comportement que l’on peut qualifier d’autisme maçonnique.
Pour l’installation du nouveau GMP de la toute nouvelle province de Corse, d’un GMP, qui lui non plus ne satisfait pas les FF corses, faudra-t-il faire appel aux menaces physiques pour les faire venir ? Faudra-t-il une ronde de charters de Paris et de Nice pour garnir les colonnes. Mais au fait, qui paiera ????
Vous n’avez plus le droit de piocher dans la caisse. Les AG pluri-délocalisées ayant été jugées illégales, vous ne disposez plus du budget de l’Obédience. Irez-vous puiser-vous dans certaines caisses africaines, de l’Est comme de l’Ouest, dont les populations locales auraient bien plus besoin ?
De tous cotés, vous et vos complices, vous aurez à rendre des comptes, sonnants et trébuchants. Il vous faudra répondre devant la Justice de tous les cents d’Euro que vous aurez illégalement dilapidés pour la satisfaction de votre Ego et de votre seul maintien au Pouvoir.
Monsieur, votre position n’est plus tenable, vous devez quitter la scène. Vous espérez probablement en tirer une certaine gloire personnelle, celle de laisser à la postérité le souvenir de ce mauvais compagnon qui a fait tant de mal à l’obédience et à la Franc-maçonnerie. Mais, nous effacerons votre nom de nos tablettes, et croyez le bien, vous ne nous manquerez pas.
Monsieur, nous vous avions dit « partez tant qu’il en est encore temps ! » Cette phrase ne vous rappelle-t-elle rien ? Mais là où un vrai maçon se serait retiré dans la discrétion, vous vous accrochez coûte que coûte.
POURQUOI ? IL Y A-T-IL TANT A CACHER ?
Monsieur, vous partirez de toute façon, loin de notre obédience, loin des vrais Francs-maçons.
Après votre départ, soyez assuré que l’Ordre renaîtra du chaos que vous avez initié ; le GADLU y veillera.
J’ai dit
Un Frère de Septimanie